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Electronic Limousine
25 avril 2006

Time has(n't) changed (that much)

killermachine

Quatre ans après leur très bon premier album "Tubed", CODEC & FLEXOR reviennent avec "Killer machine", un album signé chez Kitty-yo et relativement dans la lignée du précédent.

"Do what you want" et "Get ready" ont des sonorités proches de certaines productions de chez BPITCH avec un côté booty à la TIGA, et la voix du refrain du second rappelle le côté très "Prince" de MOUNT SIMS (les fans de Matt comprendront).
La fin de "Nothing to hide" est assez dark façon THE HACKER ou OXIA période GOODLIFE, avec des "cordes virtuelles" comme dans "Pressin on" de FOREMOST POETS. "Step by step" est un peu la version masculine et  parfois rock de "What does it feel like" et la ligne de basse accompagnant un rythme légèrement drum&bass fait penser à "The flipside" de MOLOKO. D'ailleurs vous verrez on chante "Can't leave you alone" tout du long.
Avec "Welcome" ca devient déjà plus musclé-pétasse à la ASCII DISKO, le titre est assez répétitif avec une boucle ressemblant à "People" de SUPERPITCHER, puis les sons légèrement saturés s'accumulent jusqu'à noyer l'auditeur dans un état d'ivresse sonore. "I'll be gone" possède un côté électro rétro 80's mais loin des clichés, qui fait fortement penser à Mount Sims, tant au niveau de la musique que de la voix. De même pour "Surface of sorrow" qui rappelle énormément DEPECHE MODE.
"Broke free" et "Killermachine" représentent assez ce que j'attendais de l'album: de l'électro "booty-shake your ass baby" avec des petites montées et un côté très dansant. "Make a sound" conclue cet album construit en montée, avec un morceau électro-tek chanté et une voix répétitive qui donne de la puissance au titre et qui met presque en trance à la façon des premiers morceaux de PILLS comme "Autobahn cosmos".

Codec & Flexor rattrapent le travail un peu bâclé par TIGA en sortant un album idéal pour glisser de l'électro vers la techno sans que les invités s'en rendent compte. Pas de grande révolution par rapport au précédent mais comme dirait Jacqueline, la mère de l'entraineur de l'équipe de hand de Pontigny-les-mouches: "on change pas une équipe qui gagne"...

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Commentaires
T
Haaaaan mais moi je savais pas qu'elle s'appelait Jacqueline... serait-ce la même Jacqueline que La Jacqueline de Freacky Doll ???!!!!
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